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11 mars 2006

My eyelids fall like the curtain at the end of a play

Petit poème de ma pomme (pfff et dire que je suis une orange sanguine-private joke, sorry) en anglais - ça laisse des traces le concours général.

My eyelids fall like the curtain at the end of a play
But to-morrow the stage will display
Another act or another day.
The role I used to know I want
But it washes past and I have to improvise
A witty word to fill in the blanks
World is too vast for words but words too heavy but for the paradize.
Words are missing, words are overwehlming.
My eyelids fall like the curtain at the end of a play
As performances go by, ends the season
Another play will be performed
To be word perfect you need to forget, what you have learnt,
What you have dreamt. No dress rehearsal, not a few.
Live and speak and wright
Till you can. For it words fail you
Understudy is ready, he is right
In the salls. The first row
Is just waiting for your final bow.
My eyelids fall like the curtain at the end of a play
I need to scrimp and save a glim of spotlight
For my time is nearly lapsed. The stage director ‘ll slay.
My mind tries to resist to the night
To no avail find a few more to ad : no point. The script is over.
So is the illusion. A few lines and comes the dead line.
My eyelids fall like a curtain at the end of the play.
It won’t open on a new day
In the world of dream I gonna stay,
Upon that little tent of gold
Which poets may name the realm of God.

 

09 mars 2006

Words of mouth

Je prends le relai d'Eph-K. Il s'agit de montrer une page d'écriture. Alors je joue à la flemmarde et je vous mets une page d'histoire que j'ai scanné il y a peu. Ce n'est peut-être pas le meilleur exemple, vu la rapidité des cours, mais je suis sûre que vous allez être littéralement et littoralement pas-si-o-né par la façade atlantique des Etats-Unis. Well, you should.
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Je passe le relais à Dre, wonderful Alice in wonderland, Olymbia, Chtoune, Poulet fou, chocolâ, belette, Melimelo, doll, Laure Z, boulettebulette et l'enfant fou, il est temps que je commence à vous embêter un peu.

08 mars 2006

Message codé

Quand je serai vraiment calmée et que je ne risquerai plus d'exploser les touches de mon clavier, je vous expliquerai pourquoi je HAIS le code.

27 février 2006

Le pas qui tue

 

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        « On est pas là pour se faire écraser » clame le nouveau slogan pour la campagne de sécurité routière. L’orthographe et la grammaire ne sont pas comme les petits écoliers de Lu : ce n’est pas que pour les enfants. Vouloir éviter que les enfants finissent à l’état de décalcomanie est une intention très louable. Ce n’est pas pour autant que l’on doit massacrer la langue française, qui est déjà assez mal en point. Si l’on veut demander aux gens de respecter les autres, commençons par respecter ces conventions qui permettent de se comprendre. Ni l’espace qu’il prendrait ni l’impact sonore plus "accrocheur" –le son resterait identique-  ne justifient l’absence de ce « n’ ». Si nous étions encore au temps de l’imprimerie, j’aurais cru qu’un apprenti avait égaré ce caractère. En effet, ceux qui s’occupent des campagnes de sécurité routière n’en sont pas à leur coup d’essai : « Le casque, c’est pas obligatoire, c’est indispensable ». C’est pas à pas que nous désagrégeons le langage. Je ne prétends pas être une puriste qui souhaite un retour au françois du Roy du XVIII° siècle  et je fais parfois des fautes, mais il y a des limites. Trop, c’est trop ! (encore un mot employé à tort et à travers).