Grignotages de mimylasouris

Les trois grâces baignées de soleil dans le magnifique décor du lycée en chantier...
De gauche à droite : la tortue, le teckel (plus connu sous l'orthographe de tekkel) et la belette.

Les révisions ont commençé. J'aurais du mal à dire que je suis vraiment motivée. Donc, au lieu de raisonner avec Rousseau sur la propriété privée et ses méfaits, j'ai ressorti mes gribouillages en marges des cours. Sur un brouillon de dissertation ( en quoi le travail du biographe s'apparente-t-il à celui de l'historien?), j'ai relevé quelques souris...

En souris de bibliothèque, je ne peux que vous souler de mes festins littéraires...
Je viens de finir Nous, les dieux de Bernard Werber. C'est assez étonnant, je dois avouer. En alternant récit, récits dans le récit et extraits de l'"Encyclopédie du savoir relatif et absolu" d'un des personnages, l'auteur réussit à nous intéresser et plus fort... à faire réfléchir sur tout, rien, l'humanité, nous. Je ne sais pas pourquoi, mais on est pris après cette lecture d'une envie irrepressible d'apprendre, de découvrir et d'écrire.

Pourquoi je me pointe? Difficile à dire. Comme indiquait très justement un critique dont j'ai relevé la citation pour le bac :

"Ecrire est un besoin"

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Egocentrisme ou envie de copier les copines... mimylasouris arrive.

Mimy car dérivé d'un délire que je préfère ne pas dévoiler.
Souris comme être moins répugnant qu'un rat... souris de bibliothèque et petite souris de l'opéra (non, malheuresement, je n'y suis pas). Souris qui grignote, qui fouine. Souris qui couine de petites notes en ayant l'impression de s'exprimer. Mimylasouris, quoi!