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23 février 2011

La Belgique, aller et retour

Aller en BD
(finalement, je n'ai pas eu le temps d'en visiter le musée)

 

Retour sur les amants de Magritte
(tête enrubannée ; je me suis fait grillée et ne me sentant pas d'expliquer le pourquoi de la photo-tableau, j'ai fait mine de faire des réglages de couleur)

16 février 2011

End of the (London) week-end

Parce qu'il faut bien en finir avec ces posts à retardement, un dernier pot pourri...

 

Smart ou snake.

Photobucket

 

Fun, si vous aussi vous avez une connaissance sémantique assez restrictive de "relatives" :

 

À deux pas d'impasses que nous avons nommées le Londres de Dickens (des maisons en brique en série, noir comme si l'on s'y chauffait encore au charbon, une bicyclette qui traîne avec les poubelles), des immeubles en carton ondulé :


Claqués, deux heures avant de prendre le train, nous nous sommes posés chez Peyton and Byrne dans la galerie de King Cross. Comme Palpatine veut toujours faire ce-qu'il-faut-faire et que L. a bon goût, il a pris un fairycake (cupcake au nom duquel on a donné un coup de baguette magique) et, choix inopiné, en pensant fort à Inci pour ce nouvel usage du lemon curd, j'ai dégusté un délicieux lemon and poppy cake. C'était le met de la fin.

V&A pour cette fois

Le Victoria & Albert Museum n'est pas un musée que l'on visite pour ce qu'il contient (même si je ne dis jamais non à la sensualité d'un Rodin, serait-il difficile de savoir auquel des deux personnages appartient une main) mais pour lui-même. Je ne parle pas tant d'architecture (dont je peine encore à comprendre et apprécier l'art), que de l'accumulation de collections hétéroclites : statues, ferroneries, fragments colossaux de monuments reconstruits, vêtements anciens, costumes, salon de musique importé d'un château démoli, robe ketchup ou sièges design vieillots. On y trouve même une barre de danse à laquelle j'ai rejoint une visiteuse asiatique pour un happening improbable, futile et réjouissant. Nous avons échangé nos adresses mails, peut-être plus pour parfaire le moment que pour réellement s'écrire ; je ne sais déjà plus où elle se trouve dans mes affaires.

Après ces pas de danse, j'ai parcouru les salles au pas de course avec Palpatine pour guide. Si vous n'êtes pas amateur de beaux-arts et d'artisanat, c'est ainsi que je vous recommanderais de visiter ce musée, pour qu'il reste agréablement surprenant. La suggestion du chef : ajouter quelques traits de dérision et se lancer dans un safari photo.


La religion peut nuire à la santé.
À pratiquer avec protections.

 

N'admirez que la grandeur (le sentiment religieux des églises tient avant tout à la démesure de leur architecture - et le même effet peut être obtenu dans un semblable temple laïc) et ne culpablisez pas de ne pas contempler : il s'agit de reproductions à l'origine destinées aux étudiants des beaux-arts. Si vous aviez l'échelle, vous verriez qu'on ne s'est pas moqué d'eux et qu'on n'a pas mégoté sur le matériau - à ce demander si la voyage en Italie et autres n'aurait pas été plus rentable.  

 

Il est venu le temps des cathédraaaaaaleuh pixels,
le monde est entrééééé dans un nouveau millénaire.

 

Et pour vous achever
(demandez donc à la statue d'à côté) :

 

La qualité des photos est vraiment pourave, mais c'est le problème du gigantisme de pixel : il est très difficile de réduire proprement un mammouth. Si vous avez des suggestions de logiciels ou autre...

11 février 2011

Disney(Eng)land : once (more) upon a time

Il était une fois, dans un royame fort uni, au bout de l'avenue, un hôtel à rejoindre un château de conte de fée nommé Harrod's.

La légende ne sait trop si c'était un piège de cristal (non, pas croisé Bruce) un mirage...

 

... ou une dépendance de la sorcière de Hansel et Gretel (mais c'est chez Fortnum and Mason qu'on trouve du fudge au peanut butter).

 


Il y a en effet quantité de maisons musées hantés, par la Méduse au Victoria and Albert Museum...

 


... et par les figurants de Jurrasic Park au musée des sciences.

 

Mais tout est bien qui finit (bien, bien, mais à condition d'y retourner) ;
je laisse le livre de conte à la British Library et fais mes adieux à King Cross,
dernière vision de Disney(Eng)land.