16 février 2012
J. Edgar
Le FBI, du groupe parallèle parasite à l'institution tentaculaire.
Un homme assez peu sympathique, qui fait confiance instantanément, à l'instinct, et vire de même, à la gueule du client.
Son second beaucoup plus amène, pour amadouer le spectateur.
Une amourette de jeunesse esquissée, un enlèvement d'enfant, la vieillesse homosexuelle - faibles tentatives du film pour faire pièce aux intrigues politiques.
Une obstination qui force l'admiration et la détruit : soif de pouvoir. Réécriture de l'histoire : le procédé de falsification du vainqueur falsifié en humaine faiblesse.
Le second vieilli en lézard. Vérité nue du maquillage : trop de taches.
20:44 Publié dans Souris de médiathèque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : film, cinéma
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