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27 août 2015

Streets, cars & trees

BMW rouge immatriculée California

 

Contrairement au vieux continent, où elles parasitent les villes, qui n'ont pas été conçues pour elles, les voitures font partie intégrante de la culture américaine. Du coup, lorsque l'on fait des photos, on ne cherche pas, comme en Europe, à les faire sortir les voitures du cadre : au contraire, on les prend volontiers comme sujet. Une carrosserie rutilante devient ainsi le symbole d'une Californie ensoleillée, et le reflet d'un engin de construction, la métaphore d'une ville affairée.

 

Reflet d'un engin de chantier dans un building

 

Arbre en guise de pot d'échappement

Voyez-vous, vous aussi, le feuillage sortir du pot d'échappement comme un nuage de fumée ? On aurait juré une embardée de comics – dessinée, à l'arrêt.

 

Pick-up dans une rue en pente

Ah, un pick-up... je n'en ai pas vu beaucoup, mais celui-ci accentuait assez la déclivité de la rue pour mériter une photo. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les pentes sont assez difficile à rendre. Ci-dessous, mes plus belles glissades visuelles de toboggan.

 

Vue depuis Lombard street

 

Pente et silhouettes

 

Il n'y a pas que les rues qui soient en pente : les parcs aussi !

Pelouse en pente

 

Grâce soit ici rendue à Palpatine qui, ayant intégré la topographie des lieux au cours de ses précédents voyages, a pu optimiser nos déplacements et nous éviter de sans cesse monter pour redescendre. Car, si les montées sont rudes pour le souffle, les descentes le sont infiniment plus pour les jambes. Puis, vu le vent, une petite montée de temps à autres a l'avantage de réchauffer – s'il fait frais, sinon on gagne le droit, encore, de se dessaper. Je caricature à peine : on monte en T-shirt et on redescend en pull – San Francisco est là pour te rappeler que cool, ça veut dire froid. Sisyphe, tu peux aller te rhabiller.

Streets, cars & trees

BMW rouge immatriculée California

 

Contrairement au vieux continent, où elles parasitent les villes, qui n'ont pas été conçues pour elles, les voitures font partie intégrante de la culture américaine. Du coup, lorsque l'on fait des photos, on ne cherche pas, comme en Europe, à les faire sortir les voitures du cadre : au contraire, on les prend volontiers comme sujet. Une carrosserie rutilante devient ainsi le symbole d'une Californie ensoleillée, et le reflet d'un engin de construction, la métaphore d'une ville affairée.

 

Reflet d'un engin de chantier dans un building

 

Arbre en guise de pot d'échappement

Voyez-vous, vous aussi, le feuillage sortir du pot d'échappement comme un nuage de fumée ? On aurait juré une embardée de comics – dessinée, à l'arrêt.

 

Pick-up dans une rue en pente

Ah, un pick-up... je n'en ai pas vu beaucoup, mais celui-ci accentuait assez la déclivité de la rue pour mériter une photo. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les pentes sont assez difficile à rendre. Ci-dessous, mes plus belles glissades visuelles de toboggan.

 

Vue depuis Lombard street

 

Pente et silhouettes

 

Il n'y a pas que les rues qui soient en pente : les parcs aussi !

Pelouse en pente

 

Grâce soit ici rendue à Palpatine qui, ayant intégré la topographie des lieux au cours de ses précédents voyages, a pu optimiser nos déplacements et nous éviter de sans cesse monter pour redescendre. Car, si les montées sont rudes pour le souffle, les descentes le sont infiniment plus pour les jambes. Puis, vu le vent, une petite montée de temps à autres a l'avantage de réchauffer – s'il fait frais, sinon on gagne le droit, encore, de se dessaper. Je caricature à peine : on monte en T-shirt et on redescend en pull – San Francisco est là pour te rappeler que cool, ça veut dire froid. Sisyphe, tu peux aller te rhabiller.

27 février 2009

Versailles by morning

 

Il y a quelques jours, en petit-déjeunant, j'ai vu un ciel de Grèce et je me suis dit que ce serait chouette de reconstruire le château de Versailles en Espagne. Vers neuf heures, l'eau gelée, le soleil rasant, des perspectives et aucun touriste dedans - j'ai du croiser cinq personnes dans l'allée de la Reine...

 

 

dragon

 

[Ouaip, le réveil est dur.]

[Vous pouvez remplir la perspective d'un beau crachat de feu]

 

 

reflet bassin

 

[Les petits avions rouges]

 

 

statue

 

[Vers l'infini et les jardins]

 

 

vue grand canal

 

[Curieux le rouge seulement sur le dessus des arbres taillés : on dirait un long cou tranché]

 

brochette touriste-arbres

 

[Faites votre choix : touristes (qui ne s'aventurent pas dans le jardin qui n'est pas encore réveillé), poteries ou arbustes]

 

 

bassin grand canal

 

[Là, j'aurais pu me taire]

 

 

reflet empreinte

 

[Empreinte digitale du paysage]

 

 

escalier

 

[Les escaliers dont j'ai toujours l'impression qu'ils grimpent sur le vide]

 

arabesque de clôture

 

[Arabesques de fer]

 

 

lumière morning

 

Sinon, j'ai découvert que mon appareil photo avait d'autres formats que le 16/9 qui donne l'impression que le ciel va vous tomber sur la tête en paysage et que vous faites une tête de dix pieds de long en portrait. Mais je l'ai découvert après, par hasard. C'est vrai que spontanément, on appuie toujours sur la poubelle pour changer de format - ce doit être une institution de la nature cartésienne, je ne vois que cela.