29 avril 2008
Dé-corps-tic et caetera
Je suis toujours surprise en émergeant de mes révisions de découvrir que mon corps ne se limite pas aux joues malaxées comme de la pate à modeler (à force de se prendre la tête, dans les mains ou non) et à la mèche de cheveux que je graisse consciencieusement (quoiqu’inconsciemment) de la main gauche (ne vous coupez jamais les cheveux avant une période de révision – côtoyer Kant est déjà une épreuve en soi, mais incarcérée derrière des barreaux de cheveux, ça l’est par (devant) soi). Je redécouvre que la colonne vertébrale, tout comme ses homonymes corinthiens, doriques, ioniques etc....