Le peuple khâgneux, sûr de lui et dominateur
28 avril 2008
J'ai fini de Gaulle.
D'accord, il m'a achevé, mais quand même. Vive le khâgneux libre !
Le premier qui objecte que le Québec libre est une utopie, je l'envoie faire un stage chez les Soviétiques.
3 commentaires
On finit par tisser un lien personnel et presque intime avec l'objet de nos souffrances : je révise untel, je suis passé en khôle sur tel autre (marche aussi avec le nom de nos profs).
Et après "De Gaulle" ? Quand y en a plus, y en a encore ! (généralement)
J'ai cru comprendre qu'en latin, c'est avec César que vous tissiez des liens très intimes... ^^
zED >> Malheureusement, l'infini est ce qui, une limite étant posée (réviser tout Pascal en une après-midi, à tout hasard), a toujours quelque chose à l'extérieur de lui (des fiches sur Arendt, Rousseau et Merleau-Ponty, à tout hasard).
Inci >> Tellement intimes, que mes révisions de latin se limitent à deux heures passées en tête à tête avec lui. Le comble du romantique.
Les commentaires sont fermés.