Après une journée de révisions, j'ai envie de sortir et de sauter partout. Une véritable souris en cage, diagnostique Palpatine, à qui je fais remarquer qu'il n'y a aucune roue dans son appartement. Le Divertissement pour orchestre de chambre de Jacques Ibert (que je découvrais) est tombé à pic pour suppléer ce manque. Le divertissement l'emporte largement sur l'orchestre de chambre et la musique très policée, jouée entre gens de bonne compagnie, que m'évoque sa mention. Les décors se succèdent avec la rapidité d'un manège qui fait apparaître un nouvel univers à chaque demi-tour....

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