11 novembre 2013
Calamity Jones ou la vengeance violette

Shérif Jackson . Un personnage dans un trio. J'imagine qu'on a donné au film ce titre pour qu'on identifie immédiatement le genre qu'il parodie (et éluder la difficulté de traduction du titre original - Sweetwater ). Autant le western m'ennuie profondément avec ses plans plus interminables que des spaghetti, autant c'est savoureux lorsque le crétinisme des personnages est remplacé par la folie sous toutes ses formes : fanatisme pour le prophète local, auquel on dit « Oui, prophète », même lorsqu'il reproche à ses hommes leurs élans libidineux juste après s'être tapé...