03 février 2017
La la là
La la land commence de manière sympathique, mais je n'accroche pas plus que ça. Impossible de toutes façons avec les gesticulations over-enjouées de la caméra. Et pour cause : la première partie tout entière se résume au premier plan de la dernière : un plan de palmier mimant la tête renversée… bientôt déplacé par des techniciens d'un studio de cinéma. Il faut un peu de temps pour voir non pas sous ou derrière les images (couleurs vives, plans léchés) mais pour voir les images - en tant que telles. Et comment on vit par, pour et à travers elles. Forcément, ça devient de mieux en...