10 avril 2017
Coquille poétique-robotique
J'ai étonnamment bien suivi l'adaptation cinématographique de Ghost in the Shell . Doublement : il n'y a pas eu de moment, comme si souvent, où je ne comprends plus rien qui a commandité le meurtre de qui, ni pourquoi ; et c'est suspect par rapport à l'animé*. Je ne me souvenais plus de l'histoire, mais très bien du flottement perplexe et poétique dans lequel je l'ai reçue. Sauf dans la scène de plongée sous-marine, plus d'onirisme contemplatif, fondu-disparu dans les codes du film d'action et ses ralentis de tir. Tout se comprend trop bien ; Palpatine qui a le chef-d’œuvre bien en tête...