13 décembre 2015
Le printemps en plein hiver au Palais Garnier
Titre sponsorisé par la COP21 Polyphonia était mieux dansé par le Royal Ballet . Je ne sais pas si c'est le fond de la loge qui crée une distance à la danse et assourdit la musique, mais ce n'est pas aussi incisif que ce que réclame la musique de Ligeti. Quand les accents tombent juste, l'intelligence et l'humour de la chorégraphie transparaissent ; le reste du temps, cela ressemble vaguement à Agon et compagnie. Laura Hecquet confirme sa pertinence dans le répertoire néo-balanchinien, tandis qu'à l'ordre bout du spectre interprétatif Sae Eun Park, toujours charmante, produit un...