Le dernier film de François Ozon et sa bande-annonce vous font croire une chose 1 , en désirer une autre, et vous en font vivre une autre encore, après vous avoir donnée et reprise celle que vous désiriez – élans narratifs empruntés, avortés, renversés. De cette dynamique d'attachement-arrachement s'extrait, lente, implacable, la beauté, (lancinante), la beauté des histoires (pas totalement impossibles) auxquelles on a renoncé (pas totalement par choix – sauf à embrasser sa résignation, et l'être aimé une dernière, une première fois), beauté distincte des bouffées de bonheur qui...

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