08 avril 2017
Budapest, approche gourmande

Last but not least : le miam, messieurs dames. Peut-on goûter une ville sans goûter ses spécialités ? Je m'attendais à une nourriture très roborative, mais le bobo a manifestement fait son œuvre (visible dans les nombreux coffee shops design de la ville) et j'ai déniché dès le premier soir un restaurant qui proposait du poisson au quinoa. La viande ne me dit plus rien depuis des mois, aussi n'ai-je pas goûté le goulasch. Je veux bien croire pourtant que les Hongrois s'illustrent dans la catégorie des plats flottants, car j'ai mangé la meilleure soupe au potiron de ma...