19 juin 2010
Le mardi, c'est canari

Je savais qu'il fallait se méfier . Jan Fabre, pour moi, à l'époque où je lisais consciencieusement Danser , c'était des photos de carcasses d'animaux suspendues aux tringles et des coupes de mouvements non identifiés. Quand Palaptine et moi arrivons aux Abbesses mardi dernier, le décor est plus engageant, presque festif, s'il est vrai que toute les cages d'oiseaux sont suspendues en l'air comme des lampions. Pour ajouter à l'atmosphère onirique, on distingue des petits îlots faisant de la scène encore non éclairée mais au rideau levé un nouveau monde à explorer. On entend en...