29 mars 2015
(piano)
Piotr Anderszewski ? « Il pourrait jouer n'importe quoi, j'irais quand même l'écouter. » Quand Palpatine dit cela d'une musicienne, c'est l'assurance qu'elle est très mignonne ; d'un homme, qu'il faut aller l'écouter. Surtout quand Bach compose l'essentiel du récital, diversifié avec Szymanowski et Schumann. Ou plutôt du Schuman, s'il est vrai que j'ai pris l'habitude de désigner comme partitive toute musique qui se déroule indéfiniment et que l'on pourrait prolonger ou interrompre à n'importe quel moment, comme du tissu ou de la pizza vendus au mètre. Vous m'en mettrez deux mesures,...