24 février 2014
Ça fera quat'sous et mille mercis
Allez savoir pourquoi, malgré son titre, j'ai toujours pensé que l' Opéra de Quat'Sous était une pièce de théâtre. Il faut dire que je ne me suis jamais penchée sur le cas Brecht et que je n'avais jamais même entendu le nom de Kurt Weill. La suite pour orchestre de vents jouée par l'Orchestre de Paris a été une heureuse découverte : ces pages musicales se feuillettent comme un album photo numérique, où les clichés, entourés d'un cadre blanc crénelé comme un timbre géant, s'animent quand on les regarde, toujours en noir et blanc. Et pourtant, les extraits sont colorés (hop, un petit verre...