29 juin 2012
Fin du fin de saison
Après avoir joué aux chaises musicales, je suis posée et plus si bien disposée à me concentrer. La Symphonie n° 1 en ré majeur de Gounod passe et me dépasse, sorte de valse aux points de suspensions, qui font miroiter un lac d'huile entre deux vaguelettes de barque. De mauvaise foi, je blâme les places, un peu excentrées par rapport au jeu des musiciens, déjà fondus en orchestre (c'est absurde mais j'entends mieux quand je distingue les gestes des uns et des autres). Je blâme aussi Palpatine, qui m'a entraîné loin des contrebasses (le poète de Sptizweg est masqué par le chef -...