29 septembre 2010
Et l'amour et la mort ont l'amor en partage
Dimanche dernier, lors de la matinée Roland Petit à Garnier, on s'est aimé à en mourir, d'ennui . Si je me laisse entraîner à quelques propos acerbes, il ne faudra pas en déduire que c'était mauvais, mais décevant – quoique, c'est peut-être pire : avec une princesse-citron givrée, on n'est pas surpris de finir avec un petit goût d'amertume, mais Roland Petit, c'est Notre-Dame de Paris , c'est Carmen , c'est l' Arlésienne , quoi ! Ce n'était pas mauvais, mais c'était plutôt petit que Petit (d'accord, là c'était bas). L'impression d'avoir été flouée par un chorégraphe que j'aime bien,...