31 janvier 2009
Recueil : la voix qui laisse sans vie
(un atome atone) Les Confessions d’un Anglais qui n’a pas encore mangé d’opium sont parasitées par une voix qui vient de derrière et ajoute sa misère à celle du narrateur. Celle-là est importune, qui s’invite dans la rame ; elle émane d’un corps un peu gros, écroulé sur un siège – jugement défavorable d’un coup d’œil. Celui-là, brillant helléniste qui se trouve plongé dans une grande misère – vous comprenez- avale les miettes de pain qu’il recueille en guise de repas – ce n’est pas toujours facile- survit parmi les rats avec une enfant – je donne des cours de soutien de physique...