(un atome atone)   Les Confessions d’un Anglais qui n’a pas encore mangé d’opium sont parasitées par une voix qui vient de derrière et ajoute sa misère à celle du narrateur. Celle-là est importune, qui s’invite dans la rame ; elle émane d’un corps un peu gros, écroulé sur un siège – jugement défavorable d’un coup d’œil. Celui-là, brillant helléniste qui se trouve plongé dans une grande misère – vous comprenez- avale les miettes de pain qu’il recueille en guise de repas – ce n’est pas toujours facile- survit parmi les rats avec une enfant – je donne des cours de soutien de physique...

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