29 avril 2006
Crying his eyes in

Prince de l’or noir A la peau exhalante d’arômes, Il attend, fiché sur sa mare. Sa vision a dépéri, ô cyclope à faire fondre, Prince déchu de la chocolaterie Et couronné d’amande Et non de laurier – pattes Au ras des pâquerettes tendres. D’amour ce crapaud s’est consumé La flamme de l’amour rend aveugle Son œil a été emporté Dans le Tartare de sa gueule. Et beugle En silence ; l’œil intérieur Etouffé en un hoquet, plus gros que le bœuf Il n’y pense – s’il pouvait juste redevenir rieur Et piquer un œil bovin...